Jacquy Pacich-Caneton

Jacquy Pacich-Caneton a consacré sa carrière à l’Éducation Nationale. Il a observé cette grande institution décliner de 1968 à nos jours, le désordre et la démagogie s’y installer au point de devenir ingérable. Il critique le carriérisme rampant et promeut des réformes urgentes. Ses préoccupations incluent le mariage des prêtres catholiques, l’accès des femmes à la prêtrise, la montée des extrémismes politiques, la révolution écologique et la promotion des langues régionales. Il propose un Référendum d’Initiative Citoyenne sur la peine de mort et défend la langue française contre le snobisme médiatique. Sa vision englobe la francophonie, l’indépendance du Québec et d’autres régions francophones, ainsi que la coopération avec le Maghreb et l’Afrique noire. Inspiré par un « patriotisme lumineux et ouvert », il rejette le nationalisme étroit.