Un plaidoyer templier sur les règles secrètes. Ce livre part de documents, pour la plupart inconnus ou insuffisamment commentés comme ceux du Grand Livre de l'Ordre de Saint-Domingue, des Templiers du Michoacán, des parchemins de Catalogne ou encore ceux de la secte des Assassins retrouvés en Mongolie. Il expose ensuite une vision claire et détaillée de parchemins, réfutés par quelques historiens comme l'Evangélicon, le Lévitikon, la charte Larmenius de Fabré-Palaprat de Spolète ou les documents de Hambourg retrouvés au Vatican. S'appuyant sur des archives précises, il prouve pas à pas la véracité des textes et la complaisance ou l'inanité de certaines remarques d'historiens comme Hans Prutz, dont il prouve la fausseté des arguments. Extirpant enfin toutes les composantes de ce qui a été dénigré, il prouve les erreurs constantes faites sur des hommes cités alors qu'il ne s'agit que de leurs homonymes, etc. Enfin il explicite le rôle réel qu'avait pu avoir la franc-maçonnerie ; non dans des élaborations présumées, mais dans leurs préservations. Ce livre propose une autre lecture d'un Ordre templier dont certaines composantes de ses provinces ont dévié pour des raisons idéologiques et politiques. Grâce à des recherches dans des bibliothèques censées avoir brûlées, il met en exergue des dates précises, des noms et des lieux où un embryon de gnose templière avait commencé à produire ses effets. Par des documents soigneusement référencés il démontre que si ces déviances furent plus opportunes et locales que conduites à grande échelle, elles entachèrent une partie de l'Ordre et notamment celle de Provence et de Catalogne, d'un début d'hérésie.