Confidences d’une jeune femme qui se remémore son parcours. Entre fragilité profonde et poésie insensée, elle nous dit sa vie, avec des mots d'enfant, très simplement. Tendre éloge aux rêveurs, à ces adultes qui parfois oublient de grandir. Faites que le commun des mortels puisse un jour, au détour d'une lecture, au détour d'un spectacle, s'identifier par la différence. Alfred de Vigny a écrit : « La poésie est une maladie du cerveau. » Tout est là. Allez savoir si cette histoire prolonge un sanglot, un rire ou un besoin vital d'adoucir les malheurs...