Les deux pièces courtes, « Le Diable (Hautain) et le candidat » suivi de « Vive moi », évoquent avec cynisme et humour nos représentations fantasmées du monde politique et ses arcanes. Sans prétentions moralisatrices, ces deux textes n’ont d’autre ambition que de faire sourire le lecteur qui reconnaîtra probablement l’une ou l’autre de nos stars politiques. La dérision restant encore la meilleure arme de dissuasion massive contre nos naïvetés d’électeurs.