Saralger

Saralger est le troisième recueil de nouvelles de Mohamed Laïd Athmani. Comme pourrait bien le constater le lecteur, le titre étonne : « Sara » le dispute à « Alger ». « Eh bien, nous dit Mohamed Laïd Athmani, qu’elle s’y incruste, elle le vaut bien. Quand on aura lu la nouvelle, on comprendra. » Au niveau de la guématrie, cela pourrait bien s’expliquer aussi, il suffit de « bien fouiller ». Dans ce recueil de nouvelles, ni Charles Bonn, ni Denise Brahimi, ni Christiane Achour, ni Simone Rezzoug, ni Marie Virolle, ni Aïssa Kholladi, ni Djamel Eddine Merdaci n’ont été omis et sont cités dans « L’Essaim en exil» par simple reconnaissance pour tous pour tout ce qu’ils ont fait pour la littérature maghrébine d’expression française, quoiqu’ils n’aient guère besoin d’une quelconque reconnaissance, car ils vous diront qu’ils n’ont fait que ce qu’ils voulaient et avaient voulu bien faire dans le domaine qu’ils ou qu’elles aimaient et plaçaient au-dessus de toutes autres considérations.