Elle répondait à ses baisers et à ses caresses, en exigeait d’autres, son corps s’enroulait, se déroulait, se cambrait. Sa tête se balançait de droite à gauche. Puis elle s’affaissa. Serra tendrement Marco contre elle murmurant à son oreille : Si tu le veux, maintenant viens ! Il la prit doucement. L’attention qu’il avait apportée aux caresses prodiguées, lui avait fait oublier son désir. Se rendant compte de son état, elle participa. Enfin sa vigueur se réveilla, alors elle le laissa faire, devenant passive, provoquant une irrémédiable déroute chez Marco. Celui-ci se rendant compte que plus rien ne se passerait se laissa retomber sur elle. Il ne restait plus dans l’âtre que quelques braises incandescentes. L’obscurité et le froid les gagnaient.