En parcourant ce petit « encas », vous découvrirez que le Terril est un micro-pays, un microclimat, à lui seul. Au travers de ses écrits, Daniel Lambert redonne vie aux souvenirs et espère que les clichés des cités minières seront mis à bas. En effet, qui mieux que l’enfant qu’il était à cette époque pour décrire son monde, son enfance ? Les mots manquent. Ils ne sont pas dans le dictionnaire, ils sont dans notre cerveau, dans nos tripes. Comment décrire l’émotion des retrouvailles sans eux ? Daniel Lambert s’y est essayé... Beau sujet, récit juste et sincère.