L'auteur a le mérite d’éliminer deux extrêmes (l’eurocentrisme et l’afrocentrisme) et de promouvoir son paradigme de « l’homocentrisme » comme l’origine universelle de la philosophique entendue ici comme la capacité de tout être humain à se poser des questions sur l’origine, le sens et la fin de sa vie qui surdéterminent en retour les choix existentiels et quotidiens sur l’orientation qu’il imprime à sa vie éphémère sous le soleil.