Lettre à Stephen Hawking

« Cher Sir Hawking, la primauté de l’humanité et de l’entendement humain collectif devant être, à mon avis, la préséance en toute chose, il devient en conséquence absolu, dans nos rationalités scientifiques, théories et pensées de tout ordre, de ménager l’homme en sa susceptibilité et ses occurrences existentielles inhérentes à son époque en dissertant sur nos convictions les plus établies et physiques. Pourtant, Sir, pour quelqu’un de préoccupé par le sort de l’humanité et de son bien-être, vous avez occulté cette règle élémentaire, en doutant de Dieu et du sens de la vie dans vos théories de manière radicale. Pour moi, l’abstrait étant l’émanation de la matière, nos pensées nées de la chimie cérébrale, Dieu existe et la vie a un sens... Car, au début était le vide cosmique... »