« Avant.Faraud.Il écrivait.Avant.Fat.Il postulait au titre de farceur lettré.Il écrivait placide dans sa mémoire, dans son souvenir trépidant d’expériences irréelles, dénaturées, rêvées.Sa pétulance était digne d’un geyser qui ne se tarit jamais mais les songes sont impalpables et né résonnent qu’à soi.Sa trépidation artistique et littéraire n’avait pas soif de papier et ses phrases lyriques n’enflammaient aucun cahier.Dans sa tête, il écrivait.Mais rien ne venait. »