« Temps, depuis tant de temps tu tentes De trier la tempête des tirs perdus Temps, toi, Majesté d’une traîne vêtue Teintée de satin, toi seul tu hantes Tout un tas de printemps travestis en été Tic-Tac martèle la montre ô tristesse Éternité de batailles pour attirer ta détresse Temps, trompe ta fierté, transcende la mortalité La Terre t’aime, aime la Terre en retour Aux tréfonds de tes entrailles ternies, tamisées Trouve la trame de ton intérêt Enterre-toi dans un tombeau transi d’amour Temps, tu as fait ton temps. »