Rime après rime, mon cœur s’offre en acrostiche à celui qui en voudra, Ô combien j’aimerais que son preneur, ce soit toi, Mon cœur et l’amour qu’il contient n’attendent que toi, Alors ma merveille, presse-toi, le temps s’enfuit, Il faut se presser d’aimer, moi je veux t’aimer toute ma vie, N’entends-tu pas mon cœur qui ne bat que pour toi ?