« [...] Le malheur de l'obscurité, Est de vouloir se cacher dans la lumière. Dites-moi, bonnes gens, Dites-moi vous qui savez, Dites-moi entre le bonheur et le malheur, Que faut-il choisir si le malheur est quelque fois père du bonheur ? [...] » « Ce cri qui résonne dans la savane des temps perdus, Ce cri dont les échos nous parviennent Et nourri d'amertume notre cœur, C'est bien le cri que pousse La petite chercheuse de bénédictions Que la mort a empêché de satisfaire une grande curiosité [...] ».