Depuis la disparition de ma tendre mère survenue dans d’atroces souffrances, j’éprouve le besoin de fonder des mots. Pour compenser ce manque immense en quoi je ressens des ondes fluides dans une partie silencieuse et sereine. Sur mes manuscrits lyriques, une ligne de correspondance se relie à sa mémoire spirituelle. En quelque sorte, c’est devenu ma thérapie, un pansement, pour soulager mes blessures qui pèsent un poids au creux de mon cœur. J’ai vécu une enfance douloureuse et mouvementée. En captivant une extrême conscience de la vie pour partager ses poèmes afin de la percevoir resplendissant de mille feux et sur toute sa splendeur. La littérature entoure l’atmosphère de mes écritures sur des phrases engendrées par la philosophie et une idée de la vie flagornée sur mes inspirations. Mes textes créés en prose remuent au fond de mon esprit des chroniques jaillissantes au cratère de mes pensées lointaines un kaléidoscope d’émotions.