Fidèle à une maison d’enfance, l’auteur part, dans ce recueil, à la rencontre d’images, de sensations, d’émotions, de souvenirs susceptibles de recréer dans un « espace littéraire », un temps où se croiseraient les puissances de l’imaginaire et la force d’une réalité vécue. Dans la seconde partie, à l’accent sensiblement différent, le recueil s’efforce de suivre quelques leçons de philosophie données par les martinets, dont les cris, les mouvements – ces coups de ciseaux même les soirs – semblaient donner à l’enfant un exemple de vie...