Parentés invisibles est un recueil de poèmes qui découle d’une fontaine juvénile dont les jets d’eau éclaboussent sur le silence et la mort, la maternité et la témérité, le sourire et le désespoir. Sous le reflet affectif et de rejet, sous les plis peu recommandés et révoltés, sous l’ourlet de bohème et d’errance, convie le premier monde, « l’humain », à découvrir la tolérance pour rompre d’avec les circonstances tumultueuses qui ne lui ressemblent point. Au travers de ces poèmes, il y a la rencontre du désarroi émotionnel montant qui incontestablement s’est emparé de l’écrivain dans un ton solennel de désenchantement à dessein de restaurer au berceau de toute société : la dignité, la tolérance, l’équité où rien ne devrait calciner les humains vivants.