Sous l'éclair des mots vers l'infini

Dans l’ombre douce où la nuit se dessine,

Ton regard, étoile, manque à ma routine.

Les éclats de tes yeux, constellations d’émoi,

Suspendus dans le ciel, illuminent mes pas étroits.

Comme un phare perdu dans l’océan du temps,

Ton regard me hante, douce mélodie des sentiments,

Les étreintes du soir, en souvenirs enlacées,

Réveillent la nostalgie, d’une étreinte effacée.

Sous la lueur pâle de la lune complice,

Ton regard résonne, silencieux, paraît aussi complice.

Les mots non-dits s’épanouissent en poème

Dans le jardin secret où notre amour sème.

Au creux de la nuit, les étoiles confessent,

Les secrets murmurés par ton regard, promesses.

Chaque étoile est une étreinte, un tendre serment,

Qui flotte sur ton regard qui va me manquer éternellement.

Dans le théâtre des étoiles, la scène reste vide,

Sans ton regard, la pièce est incomplète et timide.

Mais l'espoir persiste, comme une étoile filante,

À quand nos regards se croisèrent-ils à nouveau, éternelle amante ?