Spara'Play 2

Je suis plus apte à inviter qu’à écrire, ne prétends pas être une plume à fortiori poète. Ne confère à ces textes qu’un espoir cathartique pour moi, apaisant pour vous. Ils n’ont aucune autre prétention qu’un moment passé en votre compagnie. Il me paraît donc quelque peu superflu de me présenter. Mais, une chose m’est essentielle. Utiliser cette possible vitrine pour mentionner l’opportunité de rencontres mémorables. Salma, Asil, Nacer, Backitt, Amjad...  et bien d’autres encore, venus de l’autre côté de la planète pour nombre d’entre eux. Tous & toutes d’une humilité, d’un civisme et d’une gentillesse qui surprennent par une posture de moins en moins prégnante aujourd’hui. La rencontre de personnes venant du bout du monde ! Rencontres empruntes de détresse, du remords d’être partis, déracinés, de s’être éloignés de l’essentiel, de n’être plus rien aux yeux de certains, de n’être pas à leur place sur une terre pourtant en perpétuelle révolution.

Pas de syllogisme. Je garde d’heureux souvenirs d’élèves et de stagiaires quels qu’ils soient. Ceux-ci n’ont simplement pas à être défendus. Quoique !             Voulez-vous des noms ?

J’en reviens au principe même de communication qui n’est autre qu’une chorégraphie où vous êtes, pour le coup, invité. Espérant que le propos vous intéresse et m’excusant à l’avance d’un discours interrogeant un écho. Alors, venez, dansez, le temps de lire, je veux faire entendre, à ceux que j’aime pendant des jours, des heures, et puis pour m’en défendre, vous vends ma vie, mon âme de secours, parce que c’est tout ce qu’il me reste...