« Il m’arrive quelquefois quand je suis en balade De m’arrêter soudain sur le bord du chemin, Pour regarder les champs où les troupeaux gambadent Et respirer cet air aux odeurs de sapins. Je me remplis les yeux de ces vallées sans fin Qui jusqu’à l’horizon étalent leurs arrondis, En caressant les nuages qui s’évadent au lointain Et passent nonchalamment sans faire le moindre bruit. »