« Le Dernier des pieds-noirs est une fiction. Cette nouvelle prend pour point de départ les récits de mon père lors de plusieurs repas familiaux. Le devoir de mémoire m'est, alors, apparu comme essentiel pour ces Français oubliés des livres d'histoire et méprisés par la Ve République. En étant, moi-même, très humaniste, il me semblait que cette nouvelle serait une thérapie pour bon nombre de pieds-noirs. » Marie-Hélène Martinez