Mohand Assadhoun, témoin d’une période charnière entre la France, pays colonisateur, et l’Algérie, pays colonisé depuis 1830, relate tout au long de sa tranche de vie les combats engagés pour aller vers la lumière. L’auteur retrace l’environnement dans lequel il vit : le village perché en face du Djurdjura, cette magnifique montagne témoin de tant d’évènements, la maison familiale avec son organisation et celle de la communauté et, enfin, l’école indigène qui apprend aux élèves à lire et à écrire. Lui, veut aller plus loin que ça ! Il y va et il découvre Alger. Il s’engage dans la brèche ouverte par le pouvoir colonial. Une opportunité se présente : le pré-concours d’entrée à l’ENA (Paris). Il dépose sa candidature et est admis. Quelle belle aventure en perspective !