Reprenant les catégories théâtrales du Moyen Âge et de la Renaissance, Jean Cabanel rappelle l'apport non mystique de l'enseignement de Jésus dans nos fondamentaux culturels (mystère, au sens de genre théâtral ayant un sujet religieux) ; il rend hommage aux actes de bonté, de générosité qui se manifestent dans notre société (moralité) ; il stigmatise les dérives des pratiques quantitativistes contemporaines, même en matière de sentiments (sotie); il met en scène la bureaucratie (comédie); il exprime un point de vue ironique, hétérodoxe, transgressif sur les riches (monologue).