« Moralement fort heurté et ne pouvant contenir son indignation, Dénémonhi Pierre se jeta sur sa femme pour la battre sauvagement sans état d’âme. Les violences atroces qu’il avait exercées sur elle avaient occasionné la fracture de son avant-bras droit. Et n’eut été l’intervention des gens du voisinage attirés par les cris plaintifs de Rosalie, il était sûr qu’il l’aurait achevée. À force de l’avoir rouée de coups, tout son corps était contusionné. À la voir, elle inspirait vraiment pitié. Pour avoir eu l’esprit empoisonné pour violer la foi conjugale, Woguin Rosalie subissait des conséquences qui allaient lui laisser des souvenirs inoubliables. »