« Ait UNEF est à bout de souffle. Les arrêts brusques, réveillent le peu de café, ingurgité ce matin au retour de la prière matinale, ses intestins, luttent par des spasmes incessants, Ait UNEF se tord, sous les douleurs. Les gaz tardent à être expulsés. Il souffre. Une odeur sulfureuse, en nappe s’éparpille, les quintes de toux et bâillements s’entremêlent. Samy enveloppé de son casque, discute et rit à haute voix. »