Causeries philosophiques avec le terrorisme

À quand la dernière symphonie du terrorisme ? Les moralistes et les philosophes ont beaucoup réfléchi sur les problèmes de la guerre soit pour dénoncer ses méfaits, soit pour chercher ses causes et ses motivations. Il n’est plus besoin de s’attarder, à la lumière des actes odieux et inhumains posés par les terroristes depuis les attentats du 11 septembre 2001, sur les motivations et la justification des attentats de part le monde. Le drame du Trade Center, du 11 septembre 2001, a montré grandement à l’humanité, qu’il existe encore des personnes en retard sur notre siècle qui a commencé sous les auspices de la citoyenneté et de la paix universelle. Les terroristes, tout comme leurs adeptes : les « preneurs d’otages », sont-ils de véritables citoyens du monde ? Concrètement, d’un point de vue des valeurs de la démocratie, qui sont désormais partagées par quasiment tous les peuples modernes, faut-il toujours continuer à caresser les terroristes, à les couver sous couvert du respect des Droits de l’Homme et de l’éthique ? Zeus, le Dieu de toutes les religions et de tous les hommes, convoqua les trois figures emblématiques du terrorisme : Al-Qaida, Aqmi et Boko Haram, pour un grand forum philosophique. À la fin, des discussions, Zeus ordonna aux sages de donner leur verdict, se contentant de finir le forum par une allocution, invitant les terroristes et les autres humains à la paix et à la tolérance mutuelle.