Soupçonné de comploter contre l’Etat-pouvoir, le poète-narrateur se retrouve, à son corps défendant, après avoir quitté l’île des retrouvailles (Celle des amours interdites ?) enfermé dans un asile pour aliénés mentaux, surveillé de près et sommé en sus de s’exprimer quotidiennement sur la question et par écrit, sous l’œil vigilant de deux surveillantes pas toujours agréables. Incorrigible, pour son bonheur et pour son malheur à la fois, il ne s’empare de sa plume que pour rédiger des vers, quantité de vers.