« Quelles que soient les raisons d’écrire, il y a toujours un parfum de scandale dans la vie de l’écrivain, que ce soit celui de l’argent, ou bien celui de la religion, ou encore celui de l’érotisme. Et ces scandales constituent le plus clair des lectures de ceux qui constituent le fonds de base des clients de bibliothèques. Les médias sont beaucoup plus portés à parler de ce qui va mal, des catastrophes, des crimes les plus sordides possibles, des scandales financiers, des combats, des révolutions et des guerres, que des actes de bontés ou de générosités. De ce fait j’ai décidé de changer de genre, et de présenter des récits liés à des rêves ou même à des passages romancés de ma vie. »