La pureté de Maria et la divinité de Christos sont les fondements de la foi de Pansélinos Christéas. Si Christos demeure un mystère, une partie de sa vie terrestre échappe à l’auteur. Ioudas l’Iscariote ne l’est pas moins. Les quelques lignes des textes sacrés sur sa trahison, son désespoir et son suicide n’ont pas répondu aux interrogations de Pansélinos Christéas sur ce personnage qui a fonctionné comme un embrayage dans le déroulement de cette « histoire » extraordinaire. Pour Ioudas, l’auteur éprouve de l’amour et de la compassion et a voulu, à travers cet écrit, le faire savoir. Il est aussi un des héros.