« La mort par strangulation. Une fin atroce : se débattre, plonger vers le néant en gesticulant des jambes, paniquer, chercher frénétiquement à inspirer, et selon toute vraisemblance avec le tueur dans le dos, ce qui vous laisse seul face à une terreur totalement anonyme, mourir sans savoir ni qui ni pourquoi.Dans les SAS, on vous enseigne différentes méthodes pour tuer.L’homme sait ce qu’on éprouve avec un garrot autour de son cou, quand on est obligé de s’en remettre à la sagesse de l’adversaire.Une fin atroce. »