Pour adoucir le chagrin

Thérèse, une vieille dame, reçoit un manuscrit rédigé par un gamin dont elle fréquentait naguère les parents, à une époque où elle avait encore des jambes et un sourire. Ce récit parle d’amours tour à tour heureuses et contrariées se mêlant à la déchéance d’un père malade. Au fil des pages, ces amours enfantines affrontent une séparation contrainte avec en trame de fond la santé déclinante d’un homme aux prises avec la maladie. Deux histoires se mêlent, l’une compensant l’autre, le bonheur des retrouvailles effaçant la tragédie. Romance d’enfants et drame d’adulte, voilà qui résume cette histoire... « L’absence est un terrible fardeau. Malheur aux amoureux que les circonstances ou les fâcheux éloignent, ils sont un seul corps coupé en deux, chaque moitié égarée dans la tristesse ! »