Après la publication de son roman, (voir Le Roman d'Adélaïde) Adélaïde se sent une âme de guérisseuse de cœurs blessés. À l'écoute des autres, elle délaisse son mari, ne s'adonne plus à l'écriture. Ce n'est plus la douce Adélaïde accrochée à son Loulou 24h/24, comme « chouchou ek la morue », (comme on le dit à La Réunion pour décrire un couple fusionnel). C'est un feu follet, un papillon qui vole à tout vent, plus rien ne compte à ses yeux hormis les sorties entre filles. Son comportement intrigue, consterne Léon et sa sœur Agathe. Crise tardive de la quarantaine ? Envoûtement ? Soif de liberté ? Pourquoi ce changement ?