S’ils n’étaient pas morts après t’avoir éloigné du massacre ? Tu emploies un mot un peu fort... La lettre jointe dit : « Hubert Mashel de Crèvecourt est venu ce matin... Je l’entendis hurler : « de Fontesac, tu me le paieras !... » J’avais donné mes consignes : ne pas quitter le château, si un malheur survenait, rester au service d’Hubert Mashel. Car, un jour, le petit... Reviendra... La prophétie parle d’un non-humain qui rouvrira les Portes... »