Ce roman – ce conte – se situe entre réalité et fiction, et s’inscrit volontairement dans le genre « feel good », parenthèse heureuse, optimiste et positive. C’est l’histoire romanesque et librement inspirée de personnages réels. Elle laisse libre cours aux fantasmes et à l’imagination du narrateur contant une amitié courtoise et sublimée entre Christian Dior, Marlene Dietrich et Joséphine Baker, une relation qui aurait pu exister dans la phase féconde et triomphante de la vie du grand couturier. Lien d’amitié vraiment réel ou non ? Au lecteur d’en décider... La dernière partie du roman est surprenante et pourra l’orienter.