Retour à Besançon... Mon témoignage, intitulé Je n’ai aimé que nos batailles, est un clin d’œil à Genet, Aymé, Queneau, Bataille. La première partie, Je suis en vie, se déroule en 2019. Elle débute par mon admission, dans le coma, à l’hôpital de Besançon, le 23 février. Elle s’achève le 14 octobre, jour de l’enterrement. Extraordinaire et surréaliste, elle est portée par « L’Art poétique » et l’écriture automatique. Elle combat le mal à fleur de peau et se perd entre les mois et les mots, les leurres et les secondes.