«Faut-il vivre la mort pour apprendre à vivre la vie ? Le sommet des cathédrales est presque aussi effrayant que le vide qui se glisse doucement dans les yeux de ceux qui meurent. Lui aussi, on met du temps à le reconnaître. Pourquoi ? Parce qu’au sommet des cathédrales comme dans les yeux des autres, il y a un miroir qui nous dresse face à nous-mêmes. Il existe aussi face au vertige, au fond de l’eau et dans l’échappée belle de l’air quand il s’évapore. Un miroir qui nous dresse face à nous-mêmes oui, et il semblerait que nous soyons la seule chose que nous ne pouvons regarder fixement.»