L’école imaginaire s’apparente à un double essai d’imagination et de réflexion sur l’audiovisuel. L’ouvrage recèle de récits anecdotiques émanant d’expérience vécue de prof de français au service de ses futurs apprenants. L’auteur revendique le rêve absolu d’initier ses élèves virtuels au septième art, à l’image, de son idole, M. Saïl maestro du cinéma marocain. Relever le défi de créer son école imaginaire alternative ? Il en assume la fantaisie. Il sensibilise alors ses apprenants fictifs à la communication (Première partie) et au septième art (Deuxième partie).