Après une fulgurante expérience philosophique, Vlanck s’ouvre à la vision claire et distincte de la chair comme telle, dans la pure présence sensorielle immédiate. Vlanck perçoit la chair en soi, crue. Il est livré au règne de l’apparence, éprouvant de plein fouet l’épaisseur sensible des corps, la luminosité des peaux. Ces charnelles apparitions entraîneront Vlanck sur les voies de l’excès et de la transgression, entre horreurs esthétiques et fêlure érotique. Car l’évidence lunaire d’un gros sein illuminé fait surgir l’excès au sein de l’évidence en soi.