Parce que nous vivons une période de mutation anthropologique profonde, je me suis installé dans une position d’externalité civilisationnelle pour élaborer une réflexion critique sur le suprémacisme occidental. Mon approche intègre l’imaginaire collectif comme étant l’inconscient collectif formaté par le discours dominant et son idéologie. Mon analyse intègre une critique du bobo-conformisme prisonnier de la conception autophage de la modernité. Ma démarche n’est pas encore parvenue à maturité, mais se heurte déjà à une hostilité affichée, une sorte de « criminalisation » envers ce qui apparaît comme mon adhésion à l’islamo-gauchisme.