Dans ce recueil, il semble filer au gré des eaux l'incarnation d'un philosophe glacé par ses ruisseaux d'exils et ses étangs de spleen. Des filles et des poèmes, des muses au vent des saules, l'ivresse de collines aux ondes crépusculaires... Tout autant de merveilles que nous offre la fraîche pierre de nos jardins d'automne. Au bord des lacs assèche manifestement la dernière pluie de l'être en son tableau d'été.