Onzième volet de l'œuvre, Les jardins de minuit exhalent la senteur obsédante de la paraffine des ans. À la fois parc poétique et contrée philosophique, ces jardins voient pousser tout ce que le temps laisse croître d'allégorique : des roses et des cerises, des chênes et des statues. Tout est symphonie d'automne aux chants des heures assassinées, tout est petit ruisseau dans les essences du mois du mai.