Ce recueil de poésies libres, de nouvelles et de notules porte en premier lieu sur l’histoire, les patrimoines et les communautés propres à l’archipel néo-calédonien. Ces portes sur les identités calédoniennes se veulent des passerelles entre la littérature, l’histoire et une réflexion humaniste qui s’appuie sur les fondamentaux de la civilisation kanak et nos racines communes judéo-chrétiennes. Et comme l’écrit notre unique référence poétique, Victor Hugo, « L’œil était dans la tombe et regardait Caïn ». Ce bouquet de poèmes et de textes en prose répond à la nécessité – pour une écriture historico-littéraire – de proposer une parole libérée et réflexive. La première partie présente ainsi : Le Temps composé ; Les Pétroglyphes ; La Coutume ; La Grande Chefferie ; La Découverte mutuelle...