« Dans la moiteur du jour / elle se reposait. / Ce n'était / ni paresse / ni indolence. / Elle avait tout son temps ; / le temps / de ceux qui n'attendent rien. / les heures s'écoulaient, / elle n'y pensait pas, / ne les comptait pas, / savait que tout à une fin / mais n'y songeait guère. Elle vivait d'instants, / n'espérant que la nuit : / ses âpres / ses fulgurantes / jouissances. »