En tant qu’êtres incarnés, nous les humains, n’échappons pas au temps qui s’écoule sans nous demander notre autorisation, quel que soit notre avis à son égard. Dans sa course, je dirais même dans sa danse, il nous entraîne bon gré, mal gré dans des situations toujours changeantes car il est l’impermanence même. Dans ce poème, il s’agit de l’éveil d’une conscience à cette réalité, que nous percevons la plupart du temps de façon mentale uniquement et non avec la totalité de l’être.