IL découvre le plaisir d\'étrangler.... L\'assassin décide de continuer son périple, c\'est devenu un engagement avec lui même. Il se sent obligé de poursuivre sa mission, à chaque étape il découvre un peu plus le sens de sa vie. Il est semblable à un pèlerin qui se purifie sur son chemin. L\'épreuve est croissante par les obstacles, la longueur et surtout le doute. Il n\'est plus certain de retrouver les orgasmes des premiers exercices. Sa part de culpabilité que lui a donnée Sylvie, l\'empêche de se libérer totalement dans l\'acte. Il reste une part d\'oppression au fond de soi-même. Il faudrait pouvoir s\'étrangler partiellement, s\'automutiler, se fouetter, se punir. Il a peur de plus jamais atteindre la jouissance totale, absolue. Il est à la fois reconnaissant envers Sylvie, et il la maudit tout à la fois. Elle a mis le ver dans sa conscience. Il voudrait maintenant comprendre, aimer et tuer dans chaque acte. Cette ambition lui paraît démesurée et nécessaire.