« Et c’est ainsi que Brenda était devenue le centre dans un monde d’indifférence. Francis était resté son père, devenu son parent, son ami, pas son amant, pas encore, mais l’idée était déjà entrée dans l’esprit tortueux de cet homme d’une quarantaine d’années. » Cet ouvrage, le 23e de l’auteur, aurait pu s’appeler « le père coupable », coupable d’une trop grande affection envers sa fille. Les personnages de livre ne savent pas se défendre. On découvrira au fil des pages une affection maladive, d’autres souffrent d’une jalousie maladive. On évolue constamment en dehors de la normalité.