Cette pièce anonyme, parue en 1967 dans la première revue tunisienne enfantine, est ici publiée dans une traduction française de Amel Safta. Il perd la montre de son père prise sans sa permission. Affolé, Ferid se confie à son ami Selim qui lui conseille de taire l'incident. Les employés de la maison sont remerciés. Ferid avoue alors sa faute, et l'un des employés est récompensé...