Cet ouvrage interpelle le lecteur pour que celui-ci adhère à la conception d'un monde où la justice et la paix régneraient dans l'univers du travail. L'auteur voit en l'homme son propre fléau, mais aussi le remède à sa guérison. Selon lui, « l'homme est un prédateur pour l'homme, il peut néanmoins devenir son architecte. Il suffit pour cela de changer nos manières de penser et d'agir. » Dans cette composition, Olou Cyrille De l'Iréel attache une très grande importance aux idées d'un homme, Attignon Nestor, qui l'a « révolutionné de l'intérieur » et qu'il admire pour sa sagesse socratique et son rigorisme kantien.